• Quelle est la ville la plus mode au monde? Paris? Milan? Non… Londres, sacrée capitale la plus influente de la planète fashion par le Global Language Monitor, société américaine qui analyse la fréquence des mots et des expressions utilisés dans les médias.

    Et ce n’est pas d’hier que la mode londonienne fait la manchette. George Bryan Brummell – dit Beau Brummell –, né à ­Londres en 1778, était connu comme le maître du bon goût de son époque. Il faisait confectionner ses costumes sur Savile Row, dans le quartier de Mayfair, qui abrite encore aujourd’hui les maîtres du sur-mesure britannique. Père du dandysme, ­Brummell serait à l’origine de l’habit de l’homme moderne, puisqu’il a imposé la transition de la culotte moulante au pantalon de couleur sombre.

    Un siècle de mode

    L’une des signatures les plus reconnaissables de la mode britannique : l’authentique trench signé Burberry. Ce manteau naît au cours de la Première Guerre mondiale, alors que Thomas Burberry, inventeur de la gabardine (tissu naturellement hydrofuge), crée un imper destiné à protéger de la pluie et du froid les militaires anglais dans les tranchées. Ce vêtement utilitaire est devenu un essentiel de la garde-robe, porté depuis autant par la reine d’Angleterre que par des icônes de style comme Gwyneth Paltrow et Emma Watson.

    Il faudra toutefois attendre la fin des années 1950 pour que Londres revendique son statut de capitale de la mode. « Le tiers de la population du pays avait moins de 20 ans, raconte Jennifer Millen, historienne du costume. Alors qu’à Paris les couturiers dictent les tendances, Londres voit les jeunes créer leurs propres courants vestimentaires, qui influenceront ensuite la mode internationale. Les yeux de l’industrie se tournent dès lors vers les Britanniques. »

    À une époque où on ne songe qu’au futur et où la contraception permet aux femmes de prendre le contrôle de leur corps, Mary Quant ouvre sa boutique Bazaar. Elle y propose la minijupe, pièce juvénile qui va comme un gant à la silhouette de brindille de Twiggy, mannequin emblématique des sixties. « On attribue l’invention de la mini à cette créatrice, mais elle n’a fait que récupérer un mouvement de la rue », dit la spécialiste. Mary Quant a compris qu’elle pouvait faire de bonnes affaires en plaisant aux Mods, un groupe de minimalistes stylés, coiffés à la Vidal Sassoon (coupes cour­­tes géométriques) et qui aimaient se fringuer élégamment : les garçons en cos­­­tumes étriqués (comme les Beatles), les filles en jupes outrageusement courtes.

    Les années 1970 seront tout aussi riches en modes instaurées par la jeunesse. En réaction aux Mods, la vague flower-power voit déferler des tenues plus fluides, folkloriques et ethniques. On ressuscite aussi la tendance edwardienne avec des dentelles, des collets hauts et des imprimés fleuris dignes du 19e siècle grâce à Laura Ashley. Puis, il y aura le glam, tendance qui permet à ces messieurs de revêtir des atours pailletés et résolument plus féminins. Lors d’un concert à Hyde Park en 1969, Mick Jagger portait une tunique bouffante sur un pantalon blanc. David Bowie a, lui aussi, popularisé ce mouvement qui repoussait les limites des genres avec ses costumes de scène audacieux.

    Puis, à la fin des années 1970, la crise économique plonge le pays dans une récession grave. Le chômage atteint son paroxysme. Les jeunes, qui en sont les principales victimes, expriment leur mécontentement à travers leur look. « Les vêtements déchirés, les cheveux teints, le maquillage, la quincaillerie clinquante, c’était une manière de se faire remarquer, d’exister », souligne l’historienne. La styliste Zandra Rhodes ornera ses robes coûteuses d’épingles de sûreté et Vivienne Westwood, dans sa boutique Sex, vendra des vêtements de fétichistes et des t-shirts déchirés. Habillant les Sex Pistols, elle permettra la diffusion de cette mode contestataire, d’une brièveté étonnante mais grâce à laquelle Londres a acquis son statut de ville de mode avant-gardiste.

    Un style londonien
    « D’Alexander McQueen à John Galliano, de Stella McCartney à Clements Ribeiro, non seulement les stylistes anglais ont-ils su s’imposer chez eux, mais ils ont littéralement pris le con­trôle des maisons de luxe parisiennes ces dernières années. À peine sortis des écoles de mode, ils dirigent des griffes comme Dior, Givenchy, Chloé et ­Cacharel », rappelle Jennifer Millen.

    « Il y a à Londres une fructueuse dichotomie entre tradition et rébellion, dit-elle. À force de suivre les règles strictes de la monarchie pendant des siècles, il faut croire que le peuple anglais a eu besoin de se libérer. » Vivienne Westwood incarne cette ambivalence avec des collections qui font bon usage de tartans écossais, de losanges de type argyle et de corsets victoriens, mais de manière ironique. À sa façon, le créateur Paul Smith fait de même en créant des costumes classiques impeccables, mais ponctués d’une doublure fleurie aux couleurs vitaminées ou de boutonnières cousues de fil orange.

    L’icône de style Alexa Chung résumait récemment ce qu’est le style british : « Il y a quelque chose d’intrinsèquement rebelle dans notre manière de nous habiller. Les Anglais ne craignent pas de prendre des risques avec leur look. Cela explique peut-être pourquoi Londres a toujours été le berceau des couturiers les plus dynamiques au monde. »

     

     

     


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  • Si Paris est réputée pour être la capitale de la mode, Tokyo n’est pas en reste. En effet, pour les jeunes japonaises, la mode est très importante et j’irais jusqu’à dire plus qu’en France et à Paris, ou dans n’importe quel autre pays du monde. Le Japon est un pays dans lequel l’apparence compte énormément. Elle est considérée comme une carte de visite, un passeport pour s’intégrer dans la société.

      

    Au Japon, les traditions sont très importantes. Chaque ville ou région est encore représentée par des costumes folkloriques lors de divers spectacles et commémorations. Par la forme de ces derniers ou des couleurs, il est possible de reconnaître l’origine géographique d’une personne portant un costume traditionnel.

     

     

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    Le kimono est un vêtement important dans les traditions Japonaises qui se décline dans de nombreuses formes. En voici quelques-unes :

    Le kimono

    Le kimono est le vêtement type traditionnel du pays du soleil levant. Il se porte les jours de grandes occasions. C’est une robe en forme de T. le kimono vient d’un vêtement plus ancien nommé le kosode qui était un sous-vêtement. De forme rectangulaire, les tissus sont cousus et pliés mais jamais coupés. Le kimono est droit et descend jusqu’aux pieds. Ce vêtement traditionnel possède des manches très longues qui vont parfois jusqu’au sol. Les tissus japonais qui le composent, se croisent de gauche à droite sur le devant car autrefois, il était possible de cacher une arme en dessous (vous pouvez trouver des tissus japonais ici). Les morts sont habillés par opposition de droite à gauche.

    Le furisode

    Le furisode est destiné aux jeunes femmes célibataires et se compose de superbe soie. Ses manches sont très longues et les japonaises le portent en général le jour de leur vingt ans puis pour la cérémonie du thé et pour les mariages. Les manches vont de soixante-quinze centimètres à un mètre vingt-cinq. Elles peuvent même toucher le sol.

    Le yukata

    Le yukata est un kimono aussi bien porté par les femmes que par les hommes. C’est un vêtement d’été. Il est aussi utilisé comme vêtement de nuit mais également lors de festivals, de bains près des sources chaudes ou lors de fêtes folkloriques. Il descend du yukatabira.

    Le yukatabira

    Le yukatabira est un kimono qui est un vêtement de bain en lin non doublé. Pendant la période Heian (794-1185) le yukatabira était porté par les aristocrates. C’était une sorte de peignoir en chanvre. De nos jours, le yukatabira est en coton mais il a été surtout remplacé par le yukata (il y en a ici par exemple).

    D’autres vêtements ont également une place importante dans l’histoire du Japon

    Le hakama

    Le hakama est un autre vêtement traditionnel japonais. C’est un pantalon très large possédant cinq plis sur le devant et deux sur l’arrière. Autrefois, il était porté par les nobles et surtout par les samouraïs. Pendant la période Edo les femmes et les hommes portaient le hakama. Maintenant, le hakama est porté lors de combats d’arts martiaux comme l’aïkido, le jiu jitsu, le kenjutsu, etc… les tissus japonais utilisés pour ce vêtement sont en coton, en soie ou en polyester. Maintenant, on mélange souvent ces trois fibres. Le hakama est revêtu lors de cérémonies comme un mariage ou une remise de diplôme. Certains hakamas assortis à des kimonos sont portés par les femmes. Les couleurs sont très vives contrairement aux hakamas masculins qui sont rayés.

    Le gakuran

    Le gakuran est un vêtement japonais porté par les lycéens. Il est inspiré des uniformes des soldats prussiens. Composé d’une veste droite boutonnée et d’un pantalon assorti et uni, ce vêtement se ferme par des boutons à l’emblème de l’établissement scolaire.

    Le sailor fuku

    Le sailor fuku est un uniforme pour les jeunes filles japonaises allant au collège. Il a été fabriqué lors de l’époque de la Royal Navy et se compose d’un chemisier à col marin et d’une jupe plissée. Sur le chemisier, un ruban est noué sous le col.

    Tous ces vêtements sont le reflet d’une civilisation ancestrale et à la fois moderne. Les kimonos sont d’ailleurs toujours conçus dans des tissus extrêmement nobles et valent parfois plus de 4000 euros !

    Alors je change mon fusil d’épaule pour vos présenter ici les divers styles principaux à connaitre ! Disons que je vous fait un briefing sur le « must know » de cet univers coloré et créatif qu’est la mode nippone.

    On va donc voir à travers quelques photos tout ce qui fait que, selon moi, le japon est l’autre pays de la Mode, avec la France (chauvinisme powa !). Pour des raisons pratiques, je divise le sujet en plusieurs parties car il y a énormément de styles différents. Ainsi, dans ce topic, je ne vais aborder que les Lolitas.

    Je vais essayer de classer au mieux les infos pour être clair et efficace. N’hésitez pas à laisser vos commentaires si besoin, je peut ensuite répondre à vos questions.

    Pour commencer, il faut bien se dire que cet article sur mon blog n’est ni un référentiel parfait, ni un document faisant autorité. Je vais simplement vous faire partager mon point de vue sur chaque style de Lolita qui existe (ou presque !), avec le maximum d’impartialité (et oui, en vérité j’ai mes chouchous !). Ne m’en veuillez pas de ne faire que survoler chaque style. Ce post constitue une introduction, je tenterai de revenir plus en détail sur chaque style au gré de mes posts. 

     

     


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  •                                 نجمة الطبخ

    فرح فتاة تحب الطبخ والغناء تفوز بمسابقة ويخصص لها برنامج طبخ

    تلفزيوني تستوحي فكرة الأطباق من أحلام يقظتها وتقدم طبخة ً كل يوم , يشجعها أصدقائها ومديرة مدرستها ووالدها ووالدتها, لديها طموحٌ وإصرار وتبذل جهدها دوماً فتحقق ما تريده

     

     

     

     

     


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  •                                                                                     

    La nature est parfois bien cruelle et l’évolution a fourni aux animaux toute une palette d’astuces pour se défendre. La première a été de leur permettre de s’adapter à leur environnement et de se cacher des dangers potentiels. Découvrez la façon incroyable dont certains réussissent à se fondre dans le décor !

    Le camouflage est un procédé qui consiste à se servir des couleurs des lieux environnants pour passer inaperçu en vue de se protéger d’éventuels prédateurs. Certains animaux sont passés maîtres dans l’art de se camoufler. Voici une série de photographies dans laquelle des animaux se sont dissimulés pour devenir presque invisibles. Saurez-vous les retrouver ?

    Hibou

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent1Lagopède des saules

    20-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent4Gecko

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent3Crapaud

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent5Araignée

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent8Chenille de l’Adelpha Serpa Celerio

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent9Grand Ibijau

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent16Tettigoniidae

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent18

     

    Pieuvre

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent20Seiche

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent3Mante religieuse

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent21-1

    Serpent

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent21Papillon

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent22Caméléon

    23-camouflages-spectaculaires-danimaux-qui-ne-manquent-pas-de-talent23

    Leurs camouflages sont exceptionnels, les prédateurs ont du mal à les chasser. Avez-vous su dénicher au premier coup d’œil chacun des animaux présents sur les photos ?


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  •                                                    Le moi d'Avril                                                 Avril

    Avril 

              

    Avril             

                                smile                 

    J'aime ce mois!!!!!!!!!!!!

                                                             

        


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